Dans les années à venir, les mouvements sociaux devront demeurer à l’affût pour préserver les espaces de participation démocratique qui existent et lutter pour les élargir. À lire dans Le Devoir
Une contradiction dans la loi pourrait brimer les droits syndicaux des jeunes
« Si comme société, c’est le choix qu’on fait [de laisser travailler les jeunes à partir de quatorze ans], il faut s’assurer de garantir la pleine participation dans l’ensemble des instances et lois qui donnent des droits à ce groupe de travailleur·euses », pense Dalia Gesualdi-Fecteau. L’article complet dans Pivot